Redescendre ou rester là-haut ? Et pourquoi ?

Comments

[Le Major]

1978 / Pochette Joy Division / Sordide sentimental / Rouen

[JiPhone]

Merci, Alain, pour cette contribution.

[tévi]

Elle a raison Brigitte il y a une heure pour tout. Faut rien raté.

[brigitte david]

Tu commences fort Jean-Pierre.  Cette photo d'un romantisme allemand achevé me plaît beaucoup. On ne peut s'empêcher d' évoquer Carl Gaspard Friedrich, Le promeneur devant la mer de nuages,
avec les mêmes tons de rose. Oser le pastel, le nuage, la douceur et ces montagnes qui ont l'air peintes... Avec cette silhouette qui casse le côté trop romantique et rappelle que nous sommes au
XXI° siècle.   Bravo! j'aime beaucoup le détourage blanc qui accompagne bien l'ambiance feutrée.


@Pierre. Mon expérience de la montagne l'été c'est qu'à partir de 5 heures du soir quand les ombres s'allongent assez méchamment,poour moi la montagne ferme! je n'aime pas traîner. La campagne
c'est pareil. Passé cinq heures , c'est fou ce que j'aime la ville... 


Avec la mer, c'est plus complexe!

[Ben]

Je venais faire mon curieux sur "Photosweekend" au cas où et que vois-je: Une nouvelle photo! Toujours en pleine réflexion apparemment!

[Pierre Vigna]

Il y a l'ivresse des profondeurs et celle des cimes. Dans les deux cas on n'a plus envie de remonter ou de redescendre. Une douce euphorie nous gagne qui nous fait perdre conscience du réel, des
autres, de ce qui est autour de nous.


Mais l'ivresse passe et vient la gueule de bois!


Ici en tous cas la photo est superbe et parle seule.


 


Pour ma part, ayant fait beaucoup de montagne, mais très peu de profondeur, je préfère à l'ivresse l'émotion suscitée. Très peu pour moi l'état extatique, j'ai besoin des autres et de leurs
photos pour m'ouvrir les yeux et la tête.


A très bientôt JiPhone.